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Marylène de Pedro, architecte à Apt, Vaucluse (84)




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Marylène de Pedro,
Architecte dplg
Apt(84)

04 90 74 03 55 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 novembre 2017

LA CLARTE, remède mais aussi poison pour l'espace public...

Mémoire de 4ième année,
pour donner une idée...
Une Page de garde + introduction

pg4-articleLa motivation première de ce mémoire est issue d’une observation. Une observation qui interroge l’espace public. Un espace public façonné au cours des temps, façonné par l’homme et son histoire. Un espace traversé par les générations qui se l’approprient et donc le fabriquent. Cette appropriation parfois imprévue donne l’identité à l’espace public. Celui-ci doit donc, pour se charger de sens avoir la place et le temps de donner et de recevoir. Pour cela, il s’inscrit dans une durée nécessaire à sa construction.

Qu’est alors devenu cet espace, ces dernières décennies où le temps est à la vitesse et à la rentabilité ? Où le temps n’a pas toujours la place d’intervenir ? Où les objets sont chiffrés, classés et reproduits ?
Fragile et solide à la fois, l’espace public est inclassable, il ne constitue pas un " marché " défini, au vu des architectes. Et pourtant, l’espace public est nécessaire à la ville que nous habitons. Les décisions et les projets concernant l’espace de la ville se multiplient chaque jour. L’architecture joue alors un rôle déterminant dans la constitution de l’espace public. Celui-ci peut être détruit en un trait. Trait issu de nos modes de représentation. Trait qui donne le pouvoir à l’architecture. Face à ces interrogations, une attitude est proposée par K.Lynch : “concentrer l’attention sur la clarté d’une image ouverte de la ville”1.


Que se passe-t-il quand cette “clarté”, devenue excessive, dépasse certaines limites?
Que se passe-t-il quand cette “clarté” ne laisse plus le temps au temps d’agir sur l’espace public? Nous essaierons de comprendre ce débordement, que le projet peut matérialiser.
Pour cela, nous observerons, en premier lieu, de quoi se nourrit l’espace public au travers de petits fragments de ville. L’histoire du marché de la porte d’Aix à Marseille sur l’emplacement d’un parking accompagnera ces propos. Ceci soulèvera quelques négligences dues peut-être à notre système de production.
Ce constat fera apparaître, dans une deuxième partie, une préoccupation : comment produire de l’espace public ? De quels moyens et outils dispose l’architecture pour participer au processus de cet espace nécessaire à la ville? Et comment ces mêmes outils peuvent, comme nous le verrons, annihiler cette même ville ?
Afin de cerner les limites du pouvoir de l’architecture, nous pousserons le vice et irons voir de l’autre coté, là où se trouve l’espace totalitaire, la négation même de l’espace public. Certaines armes utilisées par la volonté totalitaire sont en effet, toujours à disposition. Celles-ci peuvent nier ou bien détruire l’espace public en péril. Nous illustrerons ces propos par des exemples que la ville a bien voulu nous livrer.

1 - Kévin Lynch, L’image de la cité, ed Dunod , 1999, p10

 

...Pour plus de contenu, contacter l'auteur du site....



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17 novembre 2017

Mémoire 5ème année

Pour donner une idée...
Une Page de garde + une introduction

pg5-articleLa parole errante à la maison de l’arbre, à Montreuil, réunit le 6, 7, 8 décembre 2001, philosophes, architectes, étudiants, et " tous ceux que l’architecture turlupine ", autour d’une table ronde.
Quelques paroles saisies à la soirée du 7, soirée traitant de l’architecture totalitaire au travers du régime nazi :

" La doctrine nazie n’est pas un état mais un héritage qui définit clairement un passé et un futur (...).

- (...)

- (...)La substance du nazisme se situe au niveau de la représentation du corps et du mythe(...).

- (...)

- (...)La finalité du troisième Reich était d’architecturer le monde (...). L’architecture met en place un certain type de corps (...).

- (...) Pourtant, le nazisme n’est pas un bloc homogène. Le Coca-Cola, le Bauhaus, la culture nudiste et autres libertés s’introduisent en Allemagne pendant le 3ième Reich(...)

- (...) Pourquoi, assimilait-on souvent, contre-révolutionnaires et architectes ? (...)

- On parlera plutôt d’images et représentations qu’on donne à l’architecture. L’architecture permet de marquer une hiérarchie sociale (...). Le nazisme est une corporation esthétisant une démocratie (...).

- (...)La doctrine met en place une technique dʼanimation de masses constituées dans lʼexpérience dʼun même corps. On ne peut donc pas considérer dʼespace public dans lʼarchitecture nazie, dans la mesure où elle nʼengendre quʼun espace esthétique et non politique, espace où lʼon ne peut pas voir loin, espace où sont interprétés, les termes de la nostalgie (...).

- Mais la ré-investigation de ces espaces, à des fins non prévus, n’est-elle pas possible ?

- Penchons-nous, sur le camp de concentration, quelle est sa théorisation ? Dans les camps, se trouve l’impossibilité de l’être 1 !

- Je ne comprends pas votre définition d’espace public ; J’habite à Berlin, là, un lac a été creusé par des hommes, de leurs propres mains, sous les ordres d’Hitler. Ce lieu est actuellement un des lieux les plus fréquentés de la ville tout au long de l’année.

- Si nous étions des poissons, alors on pourrait définir ce lac comme espace public !

- Il me semble que les Champs-Elysées, grande référence d’Hitler, suscite de grands rassemblements, aujourd’hui, comme on a pu voir pour le mondial de foot en 1998.

- Cette liesse, n’était-elle pas la manifestation de la masse ? Plutôt, vous parliez d’introduction du Coca-Cola, n’est-il pas non plus un produit générateur de la masse ?

- Vous avez raison (...). Seulement, le temps influe sur la qualité du lieu, la continuité permet à l’espace public de devenir.

- L’espace du totalitarisme ne permet pas la création d’espace public. L’architecture du nazisme traduit une culture de l’esthétique et non du politique, elle ne s’adresse qu’à la masse et non à la pluralité !"

 


Où se trouve l’espace public dans les espaces produits par la domination totalitaire?
Guy Naizot, dans un texte d’introduction à ces trois soirées, cite Armand Gatti : " l’architecture s’arrête-t-elle à l’image produite? L’image, n’oblitère-t-elle pas le sens ? Le sens ne naît-il pas de la lente émergence d’autres mondes ? ".
Ces dernières considérations réveillent la problématique du présent mémoire qui consistera à éclaircir la polémique soulevée lors de la soirée du 7 décembre :
L’espace public peut-il être généré dans les espaces produits par la domination totalitaire ?
L’espace totalitaire, dans sa réalisation structurelle décide d’un " sens à suivre" , il se veut être hostile aux phénomènes non maîtrisables, donc, à priori hostile aux aléas du temps . Cette fatalité existe-t-elle ? Élevés sous les ordres d’un seul homme, ces espaces, peuvent-ils être apprivoisés par le temps des hommes?
Le régime totalitaire veut, au travers de l’architecture, matérialiser une pensée unique, sans trouble, autant dans sa forme plastique qu’organique. Dans quelles mesures, permet-elle la vie de l’individu au milieu d’autres individus? Comment la diversité et l’improvisation peuvent exister dans un tout homogène, unique, propre?
L’impact des espaces du Régime nazi se veut être total dans l’œuvre totalitaire. Tenter d’en comprendre les caractéristiques, nous permet de percevoir la manifestation du totalitarisme au travers d’attitudes qui nous sont parfois quotidiennes et intimement liées. Celles-ci permettent d’éprouver des " fragments " d’espaces issus d’un comportement totalitaire. Elles illustreront, ainsi des réflexions où nous observerons leur capacité à accueillir ou à produire de l’espace public, espace démocratique.
La reconnaissance de ces fragments n’implique pas de mauvais jugements. Elle dévoile simplement, et tente de restituer, une limite difficile à voir et facile à franchir. Le passage de cette limite fragile, incontournable, peut mettre en péril un acte d’architecture, d’aménagement de l’espace des hommes ou d’autres exercices de pouvoir.

 

...Pour plus de contenu, contacter l'auteur du site...          

 

 

 



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17 novembre 2017

Diplôme fin d'étude

Pour ceux qui aiment les images, on peut aussi :
>> Voir une réinterprétation du diplôme pour l'exposition "Quand le collectif panique" en 2014
>> Voir la vidéo réalisée en 2018 suite à l'exposition citée

 

Sinon voici un extrait de la première édition en 2004:
Une page de garde + une introduction...

pg6grd

Reconstruction de la “Juiverie” à Apt, morceau de ville à habiter

À l’heure où on laisse trop souvent la consommation devenir la finalité de nos actes et décisions, il m’a semblé nécessaire de traiter de l’espace public ; un espace où l’on s’adresse au citoyen ; un espace qui ne se consomme pas ; un espace qui ne se classe pas; un espace devenant donc chaque jour plus vulnérable.

L’espace public présente en effet un caractère insaisissable, il se construit dans la durée; il est fait de décisions et d’émergences. L’exercice d’architecture, exercice de pouvoir (Nietzche)1, s’inscrit dans la décision. Comment matérialiser cette décision sans qu’elle nuise à l’identité, aux représentations, à la vie en place mais au contraire les fasse siennes tout en permettant d’évoluer ? Ou bien comment un acte d’architecture permet-il de recevoir une vie à venir pour l’espace public en question ? Comment un acte d’architecture peut-il apparaître ouvert à la diversité des êtres humains ? Comment par le projet, peut-on donner à l’espace public un caractère hospitalier ?

façOUEST

dechirureL’exercice sur la “Juiverie” à Apt, morceau de ville dont on a du mal aujourd’hui à saisir le statut urbain (rue, place..?), se proposera d’approcher ces questions de plus près ; ceci en considérant cependant que la réponse apportée ne pourra se reproduire dans un autre lieu. Toutefois on essaiera de rechercher une approche permettant de rester fidèle aux “substances génératrices”2 de l’espace public.

Le projet se donnera comme objectif de “recoudre” un tissu urbain “déchiré” dans le centre d’une petite ville comme Apt, qui en tant que ville a besoin d’être “habitée”3 (Heidegger) pour exister en tant que telle.


tympan

coin-02

pilierNB

Dans un premier temps, nous nous familiariserons avec le site, essaierons de comprendre la place qu’on lui donne dans son environnement urbain. Celle-ci est intimement liée à l’évolution de ce quartier au cours de l’histoire et donc à la mémoire qu’il nous transmet. Cette mémoire nous livre une représentation de la “Juiverie” peu valorisante. Et c’est peut-être pour cela, parce qu’elle fait partie des quartiers peu prestigieux d’Apt, qu’on a laissé la dégénérescence ronger ce morceau de ville.

Les destructions se sont juxtaposées les unes aux autres sans créer de véritables liens. Ce désordre a rendu l’espace vulnérable, et propice à des “pratiques illicites ”4. S’y ajoute la dégradation des immeubles négligés qui menacent alors de s’écrouler. Devant ce désordre apparaissant ingérable, on a jugé préférable de détruire, faire disparaître.

 

theatre

Néanmoins, la révélation de l’emplacement d’un théâtre romain remonta légèrement l’estime apportée au site. La marque d’un monument historique sacralise toujours d’une manière ou d’une autre un endroit. J’irai jusqu’à croire que la présence du théâtre est d’ailleurs devenue auprès des décideurs l’unique intérêt et matière du site.
De cette rencontre avec la “Juiverie”, découlera un projet de place. Une place liant les divers éléments et dynamiques du site. Une place rendant l’espace lisible. Une place qui pouvant se reconnaître peut alors être habitée. Pour cela on s’interrogera sur le détail de la pathologie. D’où peut venir ce manque de reconnaissance ? En terme d’espace, qu’est-ce qui fait que personne n’identifie clairement la “Juiverie” et que cet espace ne peut être aujourd’hui une place ? Les lectures de Camillo Sitte viendront orienter le sujet.
C’est ainsi que l’idée d’un projet de place vient appeler un projet d’architecture: l’extension du musée. Un bâtiment qui matérialisera et fermera la place mais aussi répondra aux besoins du musée d’archéologie. De plus la création d’un lieu culturel ouvrant sur la place, pourrait étendre la pratique du centre ville. Une attention particulière sera apportée au raccord des deux architectures, à savoir le musée d’archéologie, bâtiment du 18s et son extension, bâtiment moderne.
En ce qui concerne la place, le fort dénivelé constituera une donnée importante, donnée s’ajoutant à celle de la mémoire du théâtre dont un seul pilier a survécu.

maquette
La troisième partie présentera l’extension du musée. L’espace proposé est en effet étroit, et la proximité des voisins ne simplifie pas les données spatiales. C’est une question que nous avons du régler. On veillera bien entendu à ce que le bâtiment suive la logique dans laquelle il a émergé c’est à dire à ce que son architecture s’inscrive dans la structure de la place. Étant donnés le temps imparti et le fait que le début de l’étude se situe avant la réalisation d’un programme architectural c’est-à-dire au niveau d’une problématique à l’échelle de la ville, le détail de représentation, pour le projet de l’extension, se limitera au 100ème.
L’enjeu du projet consistera à trouver une solution qui se rapproche le plus possible du “vrai”5 , en considérant toute la complexité spatiale et la petite échelle dans laquelle se trouve notre site.

 

 

NOTES

1. Guy Naizot, préambule au texte d’introduction des trois soirées d’architecture à la parole errante, le 6,7,8 décembre, 2001.
Françoise Choay, l’urbanisme, utopies et réalités, ed du seuil, 1965, p429 à 434.
Reconstruction de la “Juiverie” à Apt, morceau de ville à habiter

2. Substances qui relèvent non seulement des décisions mais aussi et surtout de l’imprévu qui appartient au temps et souvent indépendant de la volonté des décideurs. En somme, tous les ingrédients qui permettent au lieu d’exister et de se nourrir d’une identité qu’on lui donne.


3. “ Habiter ” ne se résume pas ici au simple fait de se loger mais au fait d’évoluer dans un espace ; espace des différentes activités quotidiennes qui fait qu’un espace devient sien. En ce sens, un tissu doit permettre qu’on l’habite, pour que chacun s’y retrouve, se l’approprie, le reconnaisse comme faisant partie d’un univers dans lequel chacun est concerné


4.Terme employé pour qualifier les regroupements de jeunes, réduisant ainsi ces pratiques à de la délinquance et de ce fait justifier le “ nettoyage ” qui évite de voir le fond du problème et donc de se salir les mains. Je dirais plutôt que ces regroupements (nécessaires dans les limites du respect) ne sont pas pris en compte dans les espaces de la ville et ne peuvent pas faire ainsi partie du correct. Ils sont repoussés dans des espaces négligés et rentrent, par le fait qu’ils sont cachés et non reconnus, dans un champ d’illicité où les acteurs eux-mêmes se considèrent comme délinquants. L’espace se retrouve donc privatisé là où un système indépendant s’est développé ; système hostile aux visiteurs étrangers représentant le “correct” qui repousse ce même système. Cette opposition permet à ceux qu’on appelle “ délinquants” de se nourrir d’une identité faute de reconnaissance.

5. Un “ vrai ” que l’art peut atteindre ; l’art qui pour Heidegger est une “ mise en œuvre de la vérité ”. Ce " vrai " difficile à localiser n’existe pas en tant que tel, il ne peut se palper et pourtant s’éprouve et éclaire sur l’évidence d’une vie qui anime ce monde. Certains, pour mieux le comprendre, lui donnent une forme, une consistance, un poids ( " 21 grammes " film de Alejandro Gonzalez Inarritu, 2004).

intro6a         intro6b         intro6c

 

On peut aussi :
>> Voir une réinterprétation du diplôme pour l'exposition "Quand le collectif panique" en 2014
>> Voir la vidéo réalisée en 2018 suite à l'exposition citée

 



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13 novembre 2017

Une cuisine/buanderie "rustique chic"

cuis1

cuis3Localisation : Plaine de Cavaillon (84)
Maitre de l'ouvrage : M et Mme Zenger

Architecte : Marylène de Pedro
Maçonnerie : Dje Tao
Menuisier : Adrem Bois
Marbrier : Marbrerie Maussan

Années : 2016/17

Matériaux :
   Pin Douglas lazuré blanc
   Pin Doubglas encre de chine
   Granit noir aspect velour

 

 

 

 

cuis4

 

Avant                                                                   Après

mont1

mont2

 

plan



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7 novembre 2017

Auvent/Vitrail

 

2facesLe matin...                                            ... début d'après midi


rue
Localisation : Rue Sainte Anne en face de la cathédrale d'Apt (Vaucluse, pays d'apt, Luberon)
Maitre de l'ouvrage : Les souliers d'Alice
architecte : Marylène de Pedro
Ferronniers : Ateliers des Eygaux
Vitrailleur : Fb Vitrail
Années : 2017

 

Face

Dénomination : Auvent de la boutique "les souliers d'alice"

L'enjeu du projet consiste à protéger la vitrine du soleil tout en jouant de celui ci afin d'attirer les regards.
La solution proposée se trouve être un auvent animé de vitraux entrant en raisonnance avec les jeux de lumière utilisés dans les cathédrales.

L'idée est aussi de prolonger l'esprit présent dans la boutique/atelier déjà réalisé quelques années plutôt.

 

plan

elev

profil

 

 

 



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